|
L'odeur de l'autre
Excepté le célèbre roman Le Parfum (de Süskind), peu d’écrits traitent avec justesse du parfum, de l’odeur. Il semble que ce soit en littérature un écueil. Colette elle-même, cherchant à définir l’odeur d’une fleur, dira dans une sorte d’impuissance : « La pivoine sent la pivoine, c’est-à-dire le hanneton ! »
Le texte-exemple de Marie Rouanet, ci-dessous, me semble intéressant parce qu’il s’approche assez près du sujet.
À votre tour, écrivez sur une odeur — celle de l’autre, celle de la nature, celle que vous voudrez — mais rendez-vous compte que l’odorat est peut-être le sens le plus intime qui soit, justement parce qu’il est difficile de raconter une odeur sans raconter l’histoire, la scène, le lieu ou le corps qui l’a générée, sans avoir recours au symbole, à la comparaison, à la profusion d’images.
Forme libre : une fiction courte, une anamnèse, une nouvelle, un court récit…
Souvenez-vous surtout que la proposition d’écriture n’est qu’un tremplin et non pas un mur ni une obligation.
Bon travail & belle évasion !
Je suis ravie de vous informer que mon nouveau site web est maintenant en ligne !
www.regine-detambel.com
J’espère que vous apprécierez cette nouvelle expérience de navigation.
Merci de votre attention et à très bientôt !
Chaleureusement,
Régine Detambel